dimanche 29 novembre 2009

best beatbox ever

À essayer à la maison!
Il semble bien con ce petit geek, mais non! Imiter le et vous verrez. C'est comme être en transe, et ce, gratuitement! Quoi de mieux!
Faut demander à la coloc, elle est témoin du plaisir à se faire aller les mains dans les airs en criant des sons du genre « tou tan toutoutou tan» (entendre: tout l'temps tout tout tout l'temps!)
*attention* peut causer l'addiction

vendredi 27 novembre 2009

L'art

La coloc tricote, en demi-paresseuse. Après une vingtaine de rangés de mailles de laine grise, elle s'exlame:
«Je pourrais l'arrêté là. C'est comme un petit drapeau. Je dirais que c'est une oeuvre d'art genre: la vie ce n'est pas noir ce n'est pas blanc, c'est un drapeau gris!»
Une grande artiste en devenir.

Une visite à La Cour à Scrap

C'est avec P'pa qu'on part à La Cour à Scrap un mercredi sombre d'automne. Pas simplement pour voler des pièces et les revendre pas cher pas cher, mais aussi pour des pneus d'hiver «neu avec les titines pis toutes». C'est parce que le petit frère est pauvre, mais l'hiver arrive à grand pas menace d'étendre une glace noire sur les routes.
Une cour à scrap, à la base c'est un endroit particulier, mais à la campagne, une journée grise du mois de novembre, ça devient un endroit parfait pour une «expérience du sacré» (Jean Dansereau).
Dès le premier regard on se croit dans un autre monde. L'affiche, ou plutôt le morceau de bois, indiquant Reclyc-Auto donne un ton lugubre, avec sa peinture blanche et rouge écaillée. À l'entrée, un autre bout de bois nous fait signe de se garer dans la section des clients, au cas où. Faudrait pas se faire compacter la voiture comme on dit!
Une vieille roulotte fait acte de bureau administratif. On peut y lire «Achetons/ Vendons. Comptant $$$$$$$$$$$$$$$$». Le gars (parce qu'on ne peut pas se permettre de le surnommer poliment Monsieur) réfère P'pa à l'autre gars qui travaillait dans le garage, en fait dans le vieux hangar en ruine. Il est a noter leur oublie d'un panneau en mauvais état où on pourrait y lire : Port de la chemise carotté obligatoire.
Ce deuxième gars fait acte de guide jusqu'au vieil autobus scolaire où on y entrepose les pneus usagés, sans réel classement. Sur la route, le gars s'allume une cigarette, tandis qu'un ado tourne autour en tracteur. Il faut se concentrer à marcher dans la boue le long de restants de voitures, ce qui fait presque oublier les autres tracteurs au loin qui poussent des anciens bons véhicules dans le compacteur. Ce n'est qu'une fois rendu à l'autobus pour «enfants spécial» que le gars s'arrête et commence à jaser. Et jaser. Montrer des pneus, et jaser.
«Mon fraère a pogné ça l'hiver pâssé. Tsé y'é jeune là, y va avoir 20 ans. Pis heille, y'es a usés à corde! J'y dis hey tu fais-tu des shows de boucane toé? heu nenon... Ouain ouain me semble tsé! Heilles les jeunes hen! Sont fous!»
Et il continua à jaser ainsi... Jusqu'à la Jetta TDI qui évidement n'allait pas au compresseur.
Pendant ce temps, l'atmosphère était étrangement palpable. Le ciel gris semblait emprisonner l'air dans la cour à scrap. Les arbres morts, le foin au loin qui flotte à la guise de la brise automnale, les chemins boueux et les véhicules abandonnés là, les capots ouverts, les roues retirées et plusieurs pièces manquantes. Une ambiance glauque parfaite pour un long métrage de fin du monde. Le vidéo Believe me de Katie Stelmanis aurait dû être filmé dans ce lieu sombre en cette journée froide.
La transaction fut complétée en deux temps trois mouvements, et ce, en argent comptant $$$$$$$$$$ sans reçu. La douzaine de gars en chemises carottés bleues s'étaient réunis dans la petite roulotte. Pause syndicale, ou façon d'observer de plus près les gens de la ville. Peu importe la raison, ça ne donnait pas envie de trainer là très longtemps.
L'expédition dans ce monde fermé fut brève, mais parue une éternité. Une brèche dans le temps. Une aventure qui marque les esprits pour toujours.
Quelqu'un se cherche des pneus d'hiver? Ça vaut la peine!

mardi 24 novembre 2009

Les cauchemars c'est pour les enfants

À partir d'un certain âge, ça n'existe plus les cauchemars, ce sont des terreurs nocturnes, littéralement! Parce que, si ton cerveau ose encore te jouer des mauvais tours, il sait où aller puiser des images vraiment terrifiantes!
C'est pourquoi le mien a été très vilain cette nuit!
Tout d'abord, le H1N1 était dans mes veines et personne ne voulait m'aider. J'étais super faible, entourée de ma famille et amis, mais tout le monde refusait de me porter quelconque attention. Le meilleure moment c'est quand une infirmière m'attaqua pour voir si j'avais la grippe, j'étais avec un ami et elle nous a tous les deux diagnostiqués infectés gravement. L'affaire, c'est que tout le monde aidait Loulou qui paraissait subitement super malade... jusqu'à ce qu'on se rappelle qu'il était vacciné... C'est au même moment que tout le monde refusa d'aider qui que ce soit d'autre... Cauchemar plutôt psychologique celui là, surtout qu'on était dans un chalet de ski, que personne ne voulait laisser la malade s'allonger sur un divan (oui il y avait des divans) ET le pire dans tout ça! Des snowboarders faisaient des cascades en ridant sur les genoux de Mémé...!

Bon, le deuxième est incomparablement plus effrayant!
P'pa voulait apprendre la langue du Koweït pour faire de l'aide humanitaire là bas... (ça sent trop de lecture de textes de science politique avant de faire dodo...) Comme il commence à parler de la situation là bas, évidement on voit des images de ce qui peut se passer. Il nomme la version du Koweït du Journal de Montréal en disant que le bureau est vraiment au coeur du conflit, physiquement, qu'il y a beaucoup de vandalisme et de combats violents. Honnêtement, God knows ce qui se passe réellement là bas, mais cette nuit c'était un génocide. Peut-être influencé par le reportage hier aux nouvelles sur les Serbes qui habitent toujours au Kosovo... Bref, il y a, à côté de l'édifice en ruine du journal, des gamins qui massacrent d'autres gamins. L'horreur! Absolument. Parce qu'à ce moment c'est comme dans un film, il y a un zoom sur la tête du petit gars de la "minorité habitant le Koweït", il sait que ça ne se finira pas bien. Et il y a les deux autres enfants. Douze ans maximum. Ils cachent une arme. Ils l'intimident verbalement. Le garçon, seul, cherche une porte de sortie. Il parvient tant bien que mal à cacher la peur sur son visage. Et c'est à ce moment que le duo de "méchants" lâche la phrase fatale et sort son arme. On ne comprends pas puisque c'est dans une drôle de langue, mais on voit un gros plan sur le visage du petit sans défense. Ce n'est pas beau à voir. Et Paf! On lui met des grandes pinces dans la bouche et on le force à ouvrir la mâchoire! Jusqu'à ce que ça explose littéralement!
Et là bang! Une image des ces pinces, puis deux puis trois puis WAKE UP!!!
C'est atroce! Comment des images comme celles-là étaient coincées dans ma tête? Et pourquoi il fallait que ça sorte de cette façon? Ouf... faut arrêter ça les nuits de 12 heures...

dimanche 22 novembre 2009

Ah! Les gens connus qui vont au Bilboquet!

«C'est cute ce que t'as sur le nez! C'est quoi? C'est tu de l'eau?
-Heum... Ben c'est de la sueur...
-Ah... C'est quoi ton nom? :)»
Grégory Charles à la caissière

«La boule d'angoisse du dimanche soir» -SL

«... Sentir que le bon se termine, c'est encore pire que de traverser le mauvais temps. C'est encore plus effrayant. Ce soir, je suis bien décidé à repousser la fin.»
-Stéphane Laporte, C'était hier...
La Presse, 21 novembre 2009

C'est mieux qu'un horoscope. En fait les chroniques, c'est mieux que tout. C'est l'art ultime des journaux. Et c'est un art difficile, parce qu'il est trop facile de se prétendre chroniqueur et écrire à n'importe quel sujet avec un opinion fondé sur n'importe quoi portant à fabriquer machinalement des phrases n'importe comment.
L'horoscope, c'est l'inverse. C'est tout aussi addictif, mais c'est VRAIMENT n'importe quoi, peu importe le talent de l'auteur. D'un journal à l'autre, d'un site internet à l'autre, d'un magasine à l'autre, c'est complètement différent. Mais c'est que, c'est tellement rassurant et réconfortant d'avoir une petite phrase pour nous guider dans cette nouvelle journée qui débute.
Et petite parenthèse au sujet des horoscopes, la différence est vraiment marquante entre le Journal de Montréal et celui de La Presse. Un est si simple et clair et "bang dans les dents" avec ses petits dessins «2 coeurs et un trèfle aujourd'hui», tandis que l'autre c'est comme une énigme tres recherchée, mais ça reste un horoscope...

Longue vie aux chroniqueurs talentueux!!

En passant, Patrick Lagacé était vraiment touchant ce samedi avec sa chronique Ce foutu livre. Pas du tout provocateur fatigant comme on peut le penser. Peut-être est-il possible de percevoir un brin de pensée masculiniste mais, bof. Ça donne le goût d'être un bon papa :)

mercredi 18 novembre 2009

Blog popoche

Les Blogs, en tout genre, c'est le fun. C'est si divertissant. Puis c'est facile de naviguer de un à l'autre, quasi sans interruption pendant des longues heures.
Les Blogs de photos, vidéos, art, mode, name it, c'est le fun parce que c'est beau. C'est nouveau, c'est rafraichissant.
Les Blogs bien écrits c'est le fun parce que ça se lit bien. C'est divertissant, c'est envoûtant..
Les Blogs d'humour, c'est le fun parce que c'est du fun pure. Tout simplement.
Les Blogs à thème (voyage, overheards, d'une personalité connue, drôles de titres dans les journaux, peu importe), c'est le fun parce que c'est surprenant. Tu crois toujours savoir à peu près à quoi t'attendre, mais non. Le Blog semble toujours te dire: «Ah! Surprise sucker!»
Les meilleurs sont ceux qui joingnent deux ou plusieurs de ces caractéristiques. Évidement.
MAIS, parce qu'il y a toujours un mais, les mautadit de Blog de pleurnichage, de moi-j'ai-fait-ça-aujourd'hui, de le-centre-du-monde-est-mon-nombril, de je-suis-triste-parce-que-moi-là-hen, c'est pas lisable! Même pour les gens proches qui vous connaissent comme le fond de leur poche, c'est pas intéressant! Si vous êtes tristes, écrivez-le dans votre journal intime (ou sur Word si c'est parce que vous n'utilisez plus de stylo, c'est vraiment trop old school), mais s'il vous plait évitez cette torture aux internautes trop trop cool!!

*Grande respiration*
Bon ok, personne ne force personne à lire un Blog.
*Grande expiration*
C'est vrai.
*Le stress est tombé*
Ok.
*ou presque*

Killer Coke

Hey oui! Coca-Cola tue, et pas seulement en faisant boire du chimique en bubulle!
L'affaire Coca-Cola (Geman Gutierrez, Carmen Garcia) n'est peut-être qu'un brainwashing antimultinationales, ou peut-être est-ce simplement la vrai vérité vrai...
En gros, des milliers syndicalistes colombiens assassinés (par les paramilitaires engagés par Coca-Cola, entre autres), 3 ans out of 10 maybe who knows, une poursuite judiciaire par l'avocat que tout le monde voudrait recevoir à souper parce qu'il a l'air ben ben le fun = un beau film.
Le seul problème, c'est encore la discussion d'après documentaire... Pourquoi tous les vieux malcomodes qui se pensent ben ben engagés et culturés s'y ramassent et lèvent leur main à tout bout de champs pour rien dire de pertinant du tout? Hen? Pourquoi? ÇA ça laisse sur une mauvaise note!


«Hey moi là, en tant que consommateur, j'fais pas parti de groupe là, j'su tout l'temps tu seul, mais des fois j'appuie des groupes là pis tsé bon. Ben moi depuis 5 ou 10 ans là j'appuie KillerCoke.org pis j'réussie à me pogner des, heum... des stickers là, pis ben j'les distribue là. Pis ben même que quand je rentre dans un magasin pis je vois du Coke là, ben heille j'te dis, je demande le gérant là pis j'y dis de faire disparaître ça c't'affaire là! Faickeee hen! Faites dont toute de même là pis vous allez voir ça va changer de quoi cette histoire là!»
«Hey moi là, quand j'étais à Vancouver, j'avais des amis tsé, du monde de partout là, pis des Colombiens. Y'étaient ben smatt hen. Pis ben eux là, y'étaient pas mal toutes touchés par ces histoires là d'assassinats de syndicalistes tsé. Mes amis là! Parce que surtout Coka là...
-Non Monsieur, dit la directrice du documentaire, pas seulement Coke...
-Nenon! Attendez là! coupa-t-il, pas juste eux là, mais tsé, surtout eux de connu là, ben ...*Bla bla bla encore pendant des longues longues minutes...*»
Le Vieux Monsieur Barbu, suite à l'Affaire Coca-Cola


«Heille moi là, quand j'tais p'tite, j'ai été élevée sur une ferme hen. Pis ben mon père là, y'élevait des chocons, mais aussi des vaches! Parce que sinon on aurait été pauv' pauv' pauv' tsé...
-Oui mais madame, ici on parle d'élevage industriel voué à l'exportation. Chez vous ce n'était pas tout à fait la même chose...»
La Vieille Pas De Dent et un membre actif d'ONG pour contrer la famine dans le monde


«Acheter local c'est super important. Les fameux bleuets du Lac St-Jean, par exemple, ils sont envoyés à Montréal, aux grossistes, avant d'être retournés au Lac St-Jean pour être vendu. C'est beaucoup plus cher au final, et c'est très mauvais pour l'environnement...
-Pis les routes hen! Heille. Hen. Ça c'est pas drôle. Nos routes ont jamais été maganés de même hen! ...
*Regarde de déplue vers Cloé*
-C'est quoi là? en s'addressant à la fille trop souvent déplue facilement, C'est quoi hen? Quess y'a Quess j'ai dit hen? C'est quoi?
-Ah non c'est correct. J'm'en vais...
Toujours à la sortie du Début de la Faim (Patrice Barrat, oui comme Carl Barrat, mais en français et sans musique). Conversation avec une Autre Vieille Folle Sans Vie et le même membre d'ONG sérieuse, toujours avec sa Boréal

lundi 16 novembre 2009

R.i.d. aime

Vite! Allez aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal! C'est trop plaisant! Jusqu'au 22 novembre, c'est comme être avec son petit frère devant la télévision toute l'après-midi. Style, au lieu de zapper et tomber sur un documentaire aléatoirement au canal D, c'est en choisir un, un peu randomly, selon la salle, l'heure, la date ou vraiment selon le docu. Et même là... Si la salle est pleine et que tu ne t'y est pas pris assez d'avance, tu as encore le temps de courrir vers un autre endroit. Dans ce cas par contre, il faut faire attention de ne pas se retrouver dans un party de McGill.. Ça serait étrange... Et si le documentaire commence en retard, va boire un pichet. Le docu est bon et il te gardera de t'endormir ou d'aller aux toilettes huit fois...
Ça dérive cette histoire là... nah...
La Chine est encore loin (Malek Bensmaïl) était très joli. Intéressant aussi, quoique connaître les grandes lignes de la révolution algérienne aurait pu être un atout en tant que spectateur.
Quelqu'un est intéressé à aller visiter Ghassira? :)

samedi 14 novembre 2009

Samedi le 14 ...

Hey! Hier c'était Vendredi 13... Pis ça comme passé dans le beurre...
À l'école primaire, un Vendredi 13 devenait un Halloween numéro 2, il n'y avait simplement pas de costumes ni de bonbons.... Mais toutes les histoires d'horreur, les superstitions, les chats noirs, les tueurs fous et les sorcières maléfiques reprenaient vie. Même qu'en sixième année c'étaient les "Marie-Blanche Marie-Noire" qui était ben populaires. Et pour que ça fonctionne, il fallait connaitre les formules magiques par coeur et les répéter les 4 filles ensemble. Fallait être assises selon la rose des vents, et surtout! Y croire très très fort. Si ça échouait à chaque tentative, c'était parce qu'une fille n'y croyait pas vraiment assez!

C'est dommage que cette tradition soit morte... Ça aurait été bien de se taper une journée dans une pièce aussi noire que possible à se raconter des histoires de peur, au lieu d'écrire au sujet des Politiques d'Aristote à la bibliothèque...

C'est pas superstitieux, mais... Ça arrive à quelqu'un d'autre de voir tous les petits détails négatifs de la journée et mettre ça sur le dos du fameux Vendredi 13 ? Comme si un mauvais esprit vous suivait et qu'il faisait exprès pour que votre stylo tombe, pour que les gens dans la foule compacte que métro vous bousculent sans scrupule, pour que vos menstruations décollent, pour que...


vendredi 13 novembre 2009

Hey Bruno, don't make it bad. Take a sad song and make it better

Ah ce cher Bruno.
Genre de gars à tout le temps vous surprendre!

Non mais, qui ne rêverait pas de:
1. Être un héro de l'humour absurde
2. Être connu pour avoir créé et interprété un Coucou
3. Être payé pour voyager et écrire des chroniques. Des chroniques souvent sans contenus, mais que tous apprécient. Dieu sait qu'elles sont divertissantes. C'est comme voir le monde en restant derrière sa grosse Presse et son café! En rigolant en plus.

Mautadi! Être payé pour voyager et écrire.

Bruno! Boris est-il célibataire? Tu as l'air d'un beau-papa ben le fun.

mercredi 11 novembre 2009

Tour de l'oeuf complété

Travailler avec ces latinos et cie fut une expérience du sacré (Jean Dansereau), et toute une.
Des hauts et des bas dignes d'une série télévisée, ou du moins un bon film série B.
Des coups de théâtre qui s'enchainèrent à un rythme endiablé, ne permettant presque pas d'y croire.
Et bien toute cette histoire n'était rien à comparer avec les 14 mois en terre européenne, mais bon, c'était beaucoup plus court non?

C'était drôle d'avoir Tony en petit chien de poche toute la journée, alignant le plus de compliments de suite que possible pour tenter de garder sa serveuse Princesse.

-Ok. Disons que nous sommes à Bora bora, dans un hotel, toi et moi, mais on ne se connait pas. On est là par hasard dans le même hotel.
-Mouain....
-Ok, en dessinant des bonhommes allumettes sur une serviette de table, ça c'est toi et ça c'est moi. Disons que moi je vais vers toi, en traçant une flèche. Ok? Tu me suis?
-Mouain... *Où tu t'en va de même toé...?*
-De 1 à 10, 1 c'est pas du tout là, et 10 c'est beaucoup, en écrivant ces chiffres, combien y'a de chance qu'on se rencontre?
-Ben Tony, tu viens de me dire que tu viens vers moi, faick c'est 10...! *WTF*
-Ah mais non, mais combien de chance que toi tu viennes vers moi?
-Mouain ok je comprends je pense... en reprenant le crayon, pour inscrire un beau et gros -25.

Des petites annecdotes comme celle là avec M. Tony, il y en a eu! Mais aujourd'hui c'était plaisant. Peut-être parce que la fin, le point final, le moment du FI-NI-TO, arrivait enfin. Parce que aujourd'hui, les compliments pleuvaient. Parce que aujourd'hui, le ménage servait à rien. Parce que aujourd'hui portait une brise de liberté.

L'Expérience Oeuf fut fut brève, mais intense. Et c'était temps que ça se termine.

Hey! Une vrai! Belle! Fin! de! Semaine!
Youloulou!!
Ale Beczka!

mardi 10 novembre 2009

L'argent est une matière qui rebondit... parfois

Déjà entendu parler de chèques qui rebondissent? Oui sûrement. Ça arrive, c'est toujours une possibilité au fond. C'est le risque du chèque après tout...
Mais d'un patron? Ça porte à réflexion un brin. Quoique, bon, si tous les employés se sont empressés de déposer leur paye, peut-être le ou la dernière verra le sien rebondir... Peut-être pas non plus. Ça ne devrait pas en fait.
L'histoire, c'est qu'il y a eu DEUX chèques qui ont rebondi violament, et ce, au cours du dernier mois. Deux chèques, du même employeur bien sur, totalisant pas moins que 800$...
Heum... Demain étant la dernière journée à vendre des oeufs, aussi ben en profiter pour avoir cet argent! Sinon va falloir squatter les lieux et faire du grabuge!

Plotte Poilue

Merci à Gabbé pour l'info. Mais oui, il y avait involontairement un option d'enclanchée, celle-ci ne permettant pas aux non-utilisateurs de Blogger et etc de laisser des commentaires.
Maintenant que tout est revenu dans l'ordre, allez-y gâtez-vous!

dimanche 8 novembre 2009

Bon, on s'est passé le mot?
Qui sera la prochaine personne outre mer à donner signe de vie?
Adrià?
Stephanie?
Liz?
C'est significatif. C'est toujours soulageant. Mais maintenant non. C'est enfoncer le couteau dans la plaie. C'est probablement dans l'air ambiant. La conjoncture! Comme dirait un bon prof. Peu importe. Cessez tout simplement s'il-vous-plait merci.


mercredi 4 novembre 2009

Homesick. At the opposite

Un peu moins funny funny pis colorfull, mais tsé, revenir de voyage c'est pas le fun. Pis c'est pas le fun longtemps. Mautadit. Avoir su.

lundi 2 novembre 2009

Home Made Halloween Party!



Vous étiez les bienvenus à WonderLand.


Où les Canadians étaient à l'honneur


Janisss itoo

Les décoltés plongeants ont étés ben ben populaires

Même que Nhu était plus que plue

Ben des beaux costumes originaux


Des grands gars pas contents (ils supportaient pas tous l'alcool je crois)

Sans commentaire ma belle Milie

Un vrai look d'anglaises

Ben d'autres hippies toi!

C. K. O. I.! *Voix radiophonique*

Tant qu'à être laitte!

Hippy chixy

Pierre Miousse!!

Des pouliches! Encore et toujours!


Bref, merci tout le monde d'être venu! C'était ben ben le fun! Un beau gros party! Cheers mates!