Faire des drinks entre 3 et 8 heures par semaine étaient loin d'être suffisent pour payer les dépenses quotidiennes, il faut donc oublier les dettes...
C'est alors que le poste de bossgirl se présenta. Monter et démonter des tables de déjeuner pour un petit 12 hrs le weekend. Mieux que rien. Heureusement que c'est avec la belle Mimi et les latinos. Ça se prends bien. Le pourboires est loin de faire une différence, mais les gros déjeuners compris à chaque shifts additionnés au café filtre à volonté, ça plaît.
Quelques sous de plus s'accumuleront pendant que les sentiments grandissant d'incompétence et d'inutilité poursuivent leur take over.
Les temps libres se font plus fréquents que les heures travaillées et c'est un tantinet déprimant. Il faut rester occupé, sans jamais dépenser d'argent faute de fonds. Mission parfois compliquée à remplir quoique les festivals de Montréal sont toujours une bonne alternative.
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Qui vient faire du 4roues avec moi et un squelette?
1 commentaire:
break my booooooones!
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