vendredi 4 décembre 2009

Leçon universitaire numéro 1875

Leçon qui aurait bien du être apprise depuis longtemps, certes, mais la naïveté et la gentillesse débordante fait parfois commettre des erreurs de jugements.
Donc, à tous et à toutes, si vous ave le choix de faire un travail de session seul, ou en équipe avec un inconnu ou presque... faite le seul, c'est toujours mieux que de devoir passer la session avec:
Un coéquipier qui «disparait» les deux dernières semaines avant la remise du travail, mais qui refait surface suffisamment pour faire croire qu'il travaille de son côté.
Un coéquipier qui arrive 2hrs en retard aux rencontres d'équipe, et ce deux fois plutôt qu'une.
Un coéquipier qui, à ces mêmes rencontres, arrive les mains vides, l'esprit ailleurs, la tête en mauvais état.
Un coéquipier qui, la journée même de la remise du travail (40% de la note finale) ne donne aucun signe de vie, sauf une brève apparition vers 20:30 pour confirmer son incapacité à faire quoique ce soit "faute de temps".

Bref. Avoir su, les quinze pages de délice au sujet du Sénat canadien et de sa légitimité démocratique auraient été écrites il y a de cela bien longtemps. Et bien non... C'est pas facile écrire si long sur un sujet peu intéressant tout en étant constructif, cohérant, pertinent, intéressant, etc etc etc...

Mais hey! C'est fini. Toujours en vie. Prête à affronter la fin de session... !

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