Et cette bonne vieille habitude est de retour.
La sommeil n'est plus récupérateur. Il est évitement du réveil, du réel.
Tout pour passer le temps de façon non constructive.
C'est une manière très zen de faire le vide et de regarder le temps passer. Tout comme cette envie de dormir sans arrêt jusqu'aux jours meilleurs.
Dormir les yeux ouverts, rivés sur un écran. Et le temps passe. Et tout se ressemble. Aucune émotion ne peut y être rattachée. Aucun souvenir. Rien. Que le temps qui passe.
À demain.
Ou à jeudi, vendredi, Noël, 2014...
Qui sait encore combien de temps le temps passera sans rien dire.
Travailler pour suffire au loyer
Je cherche un soleil chaque matin d’automne
Les yeux ouverts jusqu’à l’aube
Entre Vénus et mon linoléum
Je suis le cours des jours
À demi-éveillé
Je suis le cours des jours
Les yeux ouverts jusqu’à l’aube
Je traîne jusqu’au matin
Les heures sont sans réponse
Derrière mon bureau doucement
J’en oublie le reste du monde
Je suis le cours des jours
À demi-éveillé
Je suis le cours des jours
J’en oublie le reste du monde
Je cherche un soleil chaque matin d’automne
Entre Vénus et mon linoléum
Je suis le cours des jours
À demi-éveillé
Je suis le cours des jours
Les heures sont sans réponse
Je cherche un soleil chaque matin d’automne
Entre Vénus et mon linoléum
Je cherche un soleil chaque matin d’automne
Les yeux ouverts jusqu’à l’aube
Entre Vénus et mon linoléum
Je suis le cours des jours
À demi-éveillé
Je suis le cours des jours
Les yeux ouverts jusqu’à l’aube
Je traîne jusqu’au matin
Les heures sont sans réponse
Derrière mon bureau doucement
J’en oublie le reste du monde
Je suis le cours des jours
À demi-éveillé
Je suis le cours des jours
J’en oublie le reste du monde
Je cherche un soleil chaque matin d’automne
Entre Vénus et mon linoléum
Je suis le cours des jours
À demi-éveillé
Je suis le cours des jours
Les heures sont sans réponse
Je cherche un soleil chaque matin d’automne
Entre Vénus et mon linoléum
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire