«Ah fais pas comme si t'allais en perdre ton pénis là!»
Un monde magique, ou presque toute la vie réelle prend son trou pour laisser place à l'imaginaire et au rire. Un mort dans le métro, un bébé iPod, un salon en apesanteur, une réunion de AA, un couple gai à la bibliothèque, des futurs parents magasinant des chaussures. Tout est possible, mais surtout divertissant. Ça libère l'esprit, ça renforcie des amitiés. Ça évacue les ondes négatives.
Quatre ans plus tard, c'est pratiquement plus plaisant que jamais dans une vie, ou peut-être le souvenir de pratiquer cet art fut réduit, dû au souvenir trop lourd du manque d'estime personnel, qui aujourd'hui est encore présent, mais pour une raison quelconque, ne prend plus le dessus sur cet art de la scène.
Longue vie à l'obèse de race noir qui se roule sur le ventre, aux morts, à la prof de primaire attaquée à coup de spaghetti, aux moules mouchetées et à Jésus-vampire, mais surtout à la coach. Une perle.
Personne ne le sait, mais ça fait une grande différence dans une petite vie minable.
Longue vie aux jeunes du parti conservateur!
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